Les avantages d’une fertilisation équilibrée

Des études récentes menées par l’Institut de recherche des Légumes de l’Académie des Sciences Agricoles de Guangdong ont comparé 6 stratégies de fertilisation différentes sur les courges.

Impact des légumes sur l’économie locale

Également connue en Chine sous le nom de melon d’hiver, la courge est une culture importante sur le plan économique. Il s’agit de cucurbitacées à croissance rapide et à longue saison cultivés pour leurs très gros fruits et consommés comme légumes à maturité. La plante produit des fruits au sol qui peuvent atteindre plus de 20 kg.

La production de courges de qualité peut être limitée par un certain nombre de facteurs, notamment le manque d’irrigation, et une nutrition inadaptée des cultures. Afin de développer les meilleures pratiques à suivre par les agriculteurs, l’Institut de Recherche a mené des essais visant à comparer des fertilisations conventionnelles avec des techniques optimisées : trois types de nutrition reposaient sur des variantes des méthodes habituelles consistant uniquement à appliquer un engrais NPK, et trois autres combinaient une utilisation précoce de fertilisants NPK avec un épandage en surface de NPK combiné à l’engrais Polysulphate® ICL.

Plus grands, plus lourds et de meilleure qualité

L’analyse des différentes techniques a révélé que la culture de la courge a été plus fructueuse avec un épandage en surface du Polysulphate. Les parcelles ont produit des fruits plus gros et plus lourds avec une meilleure qualité de conservation. Le rendement a augmenté de 36 % avec le Polysulphate, par rapport aux courges ayant bénéficié uniquement d’engrais NPK.

Bénéfice net en hausse de 37 %

Le choix d’une nutrition ciblée pour les cultures peut nécessiter des investissements supplémentaires. Cependant, les résultats de ces recherches menées en Chine montrent que le bénéfice net des producteurs de courges ayant utilisé du Polysulphate a augmenté de plus de 37 % une fois les dépenses déduites.

Le rendement en courge a augmenté jusqu’à 36 % avec le Polysulphate en comparaison avec les cultures ayant reçu uniquement de l’engrais NPK.