Chaque situation est différente : c’est ce qui fait tout le charme de ce métier ! »
Les directeurs techniques d'ICL à travers le monde Eric Brachter
Pour garantir le parfait état de vos plantes et de votre gazon, ICL dispose des meilleures équipes de spécialistes à travers le monde. Bien qu’ICL soit un acteur mondial, nous sommes intimement convaincus qu’il est essentiel d’opter pour une approche locale. Chaque pays a son propre climat et ses propres défis à relever. Les solutions doivent donc être adaptées à chaque cas. C’est là que l’expertise des directeurs techniques d’ICL à travers le monde entre en jeu. Nous les avons interrogés sur leurs antécédents, leurs motivations et les défis spécifiques auxquels ils sont confrontés sur leur marché.
Une tradition familiale
Nombreuses sont les personnes qui se sont orientées vers l’horticulture parce qu’elles travaillaient déjà dans ce secteur. Pour Eric Brachter, Directeur technique et Technico-commercial régional Horticulture ornementale pour le Benelux, la situation est légèrement différente. « Je pense que tout vient de la passion de mon grand-père pour cette activité. Il avait beaucoup de plantes succulentes et de cactées, ce qui a probablement déclenché chez moi une forme d’intérêt. » Après ses études et grâce à son expérience professionnelle, Eric a finalement rejoint ICL en 2005. « Pour moi, les espaces verts et les jardins sont d’une importance capitale, et cela inclut les plantes de jardin. »
Une partie du travail d’Eric consiste à conseiller les producteurs sur site. En tant que « spécialiste de la nutrition pour les pépinières et les plantes de jardin », il rend visite à ses clients plusieurs fois par semaine pour les aider et échanger avec eux. Chaque situation est différente et chaque producteur a des idées, des souhaits et des approches qui lui sont propres. C’est ce qui fait tout le charme de ce métier ! » déclare Eric.
Un marché concurrentiel pour les producteurs
Selon Eric, la situation des producteurs aux Pays-Bas n’est pas si facile. Après tout, dans un si petit pays, vous devez vous battre pour obtenir une part du marché. « Les Pays-Bas reposent sur une économie du savoir ; c’est un pays novateur et précurseur. Mais c’est aussi un pays de faible superficie très densément peuplé. Les producteurs doivent se battre pour obtenir les espaces dont ils ont besoin. Ajoutez à cela toutes sortes d’exigences supplémentaires liées à l’environnement, aux réglementations et aux différentes possibilités, entre autres. Autant d’éléments que nous devons prendre en compte avec les producteurs. Cela vous oblige à innover et à aller de l’avant. Bien plus que dans d’autres pays où les zones de culture sont plus espacées. »
Développement continu
Outre ces circonstances, les Pays-Bas sont souvent précurseurs dans le développement de produits. Eric le constate chaque jour dans son travail, lorsqu’il envisage de nouvelles options avec ses clients. Osmocote 5 en est un parfait exemple. « Nous essayons des produits dans les pépinières pendant plusieurs années jusqu’à ce que nous arrivions à un résultat final satisfaisant pour tout le monde. À l’heure actuelle, nous développons des produits pour des substrats à teneur réduite en tourbe. Nous aidons ensuite les producteurs à sauter le pas et nous leur expliquons les implications relatives à l’utilisation de nos produits. » Eric leur apporte une assistance technique lorsqu’ils ont des questions.
Échange d’informations dans le monde entier
Dans le cadre de ces conseils, nos collaborateurs internationaux jouent un rôle important. « Nous échangeons beaucoup d’informations et tirons des enseignements de l’approche adoptée par chacun. Au Royaume-Uni et aux États-Unis, par exemple, les producteurs utilisent moins de tourbe pour leurs cultures depuis plusieurs années. Nous avons également de nombreux échanges les uns avec les autres pour partager des astuces ou des faits intéressants. Selon moi, cette coopération internationale est un atout majeur pour ICL. » Parallèlement à cela, d’autres pays se tournent vers les Pays-Bas pour leurs innovations. « C’est ainsi que nous apprenons les uns des autres », explique Eric.
« Nous profitons des conseils de nos collègues étrangers sur des sujets liés au climat. Avec le changement climatique, la météo fluctue énormément à présent. Le temps change parfois de façon très soudaine, ce qui stresse bon nombre de cultures ». Outre le climat, bon nombre d’autres facteurs varient également. La fluctuation des prix de l’énergie et la disponibilité limitée des produits poussent les producteurs à innover. « Le fait de réfléchir et de conseiller les producteurs sur ces innovations crée un lien », explique Eric. « Je suis très fier des producteurs qui obtiennent de bons résultats en utilisant nos produits. Nous établissons un plan à l’avance avec eux pour qu’ils puissent atteindre leurs objectifs. Ensuite, nous leur conseillons des produits et les testons avec eux sur le terrain. Lorsque les produits répondent aux attentes du client, j’ai le sentiment d’avoir remporté une victoire. ».
Au sein d’ICL, Eric dispose de la latitude nécessaire pour pouvoir vendre des produits de manière réaliste et pragmatique. « Nous développons de solides relations avec nos clients et je trouve formidable que nous puissions les conseiller dans le cadre de cette approche. Je peux leur dire : « C’est ce dont vous avez besoin et c’est ce qui convient le mieux, parce que… » tout en leur fournissant les meilleurs conseils possibles. ». Eric ne veut pas proposer à ses clients des produits inutiles. « Il est indéniable que nous devons gagner de l’argent, mais au sein d’ICL, nous nous efforçons de faire passer les intérêts des clients avant tout. À mes yeux, l’objectif est que le résultat final soit satisfaisant pour le client et pour moi-même. ».